En 1925, les milieux artistiques de Montparnasse — où noctambules et marginaux se côtoient — et sa renommée École de Paris incarnent bien cette période des « Années folles ». Maya9, une modèle, découvre un peintre mort à cause de la drogue. Le secrétaire d’État aux Beaux-Arts fait appel à Gabrielli, pour lutter contre ce fléau qui ravage ce milieu. Pujol et Terrasson apprennent d’un indicateur que ce milieu se débrouille sans la pègre. Valentin, dans l’atelier du mort, rencontre des peintres, qui restent silencieux. Dans un café Pujol et Terrasson observe la faune des lieux. Deux peintres, Solokine et Alvarez se battent avant d'être séparés par un homme, qu'ils nomment le Baron, qui les invite à dîner. Avant de partir les inspecteurs laissent une convocation au patron du bar, un ancien truand, que Valentin va remplacer. Dès le premier soir, le commissaire et Maya sympathise. Valentin se bat avec Solokine. Le lendemain Maya lui fait découvrir les clients habituels du bar, comme un couple d’Américains, les Simpson, le Baron, qui est un brocanteur célèbre ou Olaf, un Libanais. Celui-ci va dans les toilettes des dames et réapprovisionne en drogue une poche plastique placée dans le réservoir des W.C. Valentin est amoureux de Maya. Après que le Baron lui ait acheté 2 toiles, Solokine achète de la drogue à Maya. Valentin a découvert la poche vide et charge Pujol et Terrasson de surveiller les toilettes. Ils l’informent, discrètement, que c’est Maya qui réceptionne la drogue...